La grande plante de pierre qu'est la maison pousserait mal si elle n'avait pas l'eau des souterrains à sa base.
Ainsi vont les rêves en leur grandeur sans limites.
La page de Bosco par sa rêverie cosmique apporte au lecteur un grand repos de lecture en lui demandant de participer au repos que donne tout onirisme profond.
BACHELARD, Poét. espace,1957, p.40.